Victimes de sécheresses à répétition qui
les ont très fragilisés, et qui ont eu des conséquences irréversibles, les
deux rangées de résineux qui longeaient le mur d'enceinte du parc ont dû être
abattues. L'envahissant lierre grimpant qui recouvrait le mur a été soigneusement retiré, une opération délicate pour ne pas abîmer le mur sur lequel il s'était solidement accroché depuis des décennies.
Les souches des arbres feront l'objet d'un rabotage en grignotant les troncs jusqu'à 30 cm au dessous du sol.
Le parc de Mazière constitue un patrimoine vivant fragile qu’il est essentiel de préserver. Avant de procéder à de nouvelles plantations, il est important de mener une vraie réflexion. Il conviendra de prendre en compte les volumes, les couleurs les formes tout en respectant le contexte local et la présence du rucher.
Les arbres d'ornement qui structurent
l'espace comme un élément clé du paysage et qui donnent une identité
forte au site, pourraient être abandonnées si les essences choisies ne
sont pas assez résistantes au changement climatique.
Les experts seront consultés.