En 1996 à Uruza au Mali où le Syndicat d'Eau potable de Notre Dame d'Oé-Chanceaux -Cérelles soutenait des initiatives en faveur de l'éducation des petites filles.
Là où la sécheresse ne cesse de gagner du terrain les ingénieurs agronomes de l'ONG Eau Vive apprenaient aux villageois à réaliser des petites digues en pierre pour retenir un peu l'eau qui tombe parfois du ciel ...
Dans le village ….non confiné ! Les greniers à mil en terre , légèrement surmontés du sol ,pour protéger cette nourriture essentielle.
A la maternité de la petite ville la plus proche … Près de 40 km à dos d'âne ou dans une charrette pour aller accoucher .
Après l'accouchement les femmes achètent de l'eau minérale à la petite épicerie voisine pour leur toilette et celle de leur bébé .
Le Thermomix malien ...pour cuire le repas ...
La corvée de l'eau ….
Le syndicat oésien a contribué jusqu'en 2017 a financé des puits bétonnés pour améliorer les régles d'hygiène, sécuriser les ressources, éloigner les animaux ...
Petite escapade à Djenné et sa mosquée en terre ...
Peut être sous le joug des djihadistes depuis cette visite en 1996.
Entre Uruza et Djenné le fleuve Niger
A la périphérie du village ...
"L'Hotel Mercure "d'Uruza où séjournaient les membres de la délégation française.
Des lits de camps sous le soleil étoilé et le regard amusé de la population du village qui découvrait ces sacs de couchage où se glissaient ces Français … Un drôle de sac qu'ils n'avaient jamais vu et provoquait curiosité et rigolades ….
Le matin en reprenant les chaussures ...bien vérifier qu'un scorpion n'est pas venu s'y réfugier dans la nuit ….
Pour relativiser les grandes souffrances du confinement ….En 2020 la situation n'a sans doute pas beaucoup évoluée malgré les aides au développement , mais sous la menace des terroristes ...
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